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LA LÉGENDE WANTED
En cette nuit obscure du Colorado, un homme marchait, seul, dans un désert immense. Après 40 kilomètres sous cette chaleur étouffante de l'été, il ne sentait même plus ses pieds. Sous son chapeau, la sueur continuait à couler tandis que son torse était déjà trempé. Mais l'homme marchait, même essoufflé, dans le seul but d'arriver à l'aube dans la vieille ville de San Fernando, pour y trouver amour et richesse. La ville réputée pour ses femme de joie et ses mine d'or par dizaines fut, durant de nombreuses années, le grand rêve de beaucoup de toute la population du grand ouest.
Quelque kilomètres plus loin, l'homme aperçut à l'horizon un petit groupe à cheval. Un long nuage de poussière se dégageait derrière eux.
Quelque kilomètres plus loin, l'homme aperçut à l'horizon un petit groupe à cheval. Un long nuage de poussière se dégageait derrière eux.
Voyant cela, l'homme décida de se cacher derrière des montagnes, ne savant pas ce que le long nuage de poussière signifiait. Il préféra attendre avant de rencontrer ce groupe à cheval car il avait un mauvais pré-sentiment. Au fur et à mesure que ces gens s'approchaient, l'homme entendait vrombir un grondement de troupeaux et de cris. Étant curieux, il jeta un coup d'oeil et aperçut que ce groupe était poursuivit par un troupeau d'indien. L'homme étant affamé, assoiffé et fatigué, resta allongé en attendant qu'ils passaient. Mais il ne put rester éveillé durant le passage du troupeau. C'est seulement après quatre longues heures de sommeil qu'il revînt à lui.
Il continua donc sa route vers la Vallée de San Fernando dès son réveil. Mais il faisait chaud, très chaud. Et l'homme n'avait plus d'eau dans sa gourde. Il dû ralentir le pas, épuisé par tout ce chemin, alors que les coups de soleil se multipliaient sur ses épaules et sa poitrine. Puis après une quinzaine de kilomètres, l'homme eut enfin un brin de chance. Ce qu'il apercevait devant lui, c'était un oasis. Il allait enfin pouvoir se ravitailler.
Lorsqu'il eut goûté puis rempli sa gourde de cette précieuse eau du désert, le moment de repartir fut venu. Il ne devait plus perdre une minute après cette longue pause qu'il s'était accordé.
Alors il reprit son chemin, toujours en marchant vers l'ouest...
La fatigue se faisait ressentir, l'homme avançait de moins de moins vite. Il traînait ses pieds rouge, la tête baissée, sur ce long chemin de sable caillouteux. Soudain il vit au loin un coyote s'approchant à toute vitesse de lui et il commença à s'inquiéter. la bête lui pris sa gourde d'eau récemment remplie à l'oasis, avant de s'enfuir à toute vitesse. L'homme resta figé. Il était déjà terriblement assoifé par ce long voyage, et maintenant, il se faisait voler. Agacé, il continua tout de même son périple.
Quelques kilomètres plus loin, il vit au loin un jeune homme assis sur le sol. Perturbé il s'approcha lui et lui demanda:
- Où vas-tu jeune homme ?
Le jeune homme répondit de manière agressive, avec un accent espagnol très prononcé:
- Étrangé, etrangé, porque tu me parle ?
L'homme, étonné:
- Calmos, calmos, je vois un jeune homme assis par terre au milieu de nul part, donc je me demande ce qu'il peut bien faire là. Rien de méchant.
- Vale, vale, je cherche la ville. Qui es-tu ?
- Je m'appelle Carlos, Carlos Escriba, et toi ?
- Vale, vale, mi je m'appelle Pablo.
- Ok, souhaites tu poursuivre ta route à mes côtés ?
Le jeune homme acquiesça et se leva.
Carlos et Pablo continuèrent leur chemin. Les deux hommes marchèrent 25 kilomètres ensemble jusqu'à ce que Pablo s'arrêta, déja épuisé. Carlos comprit que le jeune homme ne pouvait plus continuer à marcher. Il décida donc de le porter sur son dos malgré la fatigue. Cinq kilomètres plus loin, ils arrivèrent, enfin, à San Fernando di publicano.
San fernanfo di publicano est une petite ville un peu à l'ouest de la ville légendaire de San Fernando. Comme la nuit allait tomber ils décidèrent de loger sur place pour se reposer et refaire le plein de provisions et d'eau. Ils prirent la dernière chambre du seul petit saloon.
Dès l'aube, Carlos fut réveillé par des bruit de sabots. Il découvrit avec stupeur que c'était Pablo qui quittait précipitamment les lieux à dos de cheval. Carlos remarqua la disparition de son colt et des quelques dollars qu'il avait conservé.
Carlos n'avait donc plus d'argent. Courir après le jeune homme ? À quoi bon, pensait-il. Bientôt, il arriverait à San Fernando et la fortune lui viendrait sans trop d'effort, ainsi que l'amour.
L'homme reprit donc son chemin. Seul, il marcha toute la journée sur cette route dangereuse: nombreux sont les bandits qui circulaient par là chaque jour. Et ce fut d'ailleurs à son plus grand étonnement qu'il vit apparaître en face de lui le troupeau d'indiens qu'il avait aperçu la veille.
Ses mains se mirent à trembler. Il n'avait plus d'arme, et donc plus rien pour se défendre, si ce n'est la force de ses propres mains. Sur le chemin, le vent soufflait très fort et les rouleaux de paille volaient. Dans moins d'une minute, il allait rencontrer ces hommes aux blousons blancs et aux culottes brunes. Il avait peur, et ça se voyait. Il songea à faire demi-tour, mais l'odeur de l'argent et de la fortune l'attiraient.
Alors l'inévitable arriva. Les 11 hommes étaient maintenant à dix mètres de lui. Carlos, prit par la peur, commença à courir. Et les coups de feux éclatèrent. Notre héros fut touché à la jambe, mais courait, courait...poussé par la soif de bonheur et l'instinct de survie. Le sang coulait tandis que la douleur se faisait ressentir, mais les jambes ne lâchaient pas. Elles étaient une preuve de courage, d'espoir. Et là, une autre balle l'atteignit en pleine épaule. L'homme poussa un cris et s'étala. Sa vie défila devant lui. Il repensa à tous ces moments passés avec sa famille et ses amis. Toutes ces aventures vécues pour en arriver là... C'était frustrant. Et la douleur le rongeait de plus en plus. Rien ni personne ne put lui venir en aide... sauf une chose: l'espoir de voir son rêve se réaliser. Alors il posa sa main sur le sol, lança une impulsion dans ses deux jambes et se releva. Les indiens tiraient encore et encore, mais Carlos évitait les balles. Soudain, à sa droite, il aperçut Pablo et son cheval noir.
Le jeune espagnol chuchota: << Viens, viens ! >>
Après un moment d'hésitation, Carlos accourût vers Pablo. Celui-ci lui tendit la main, le monta sur le cheval, et cria << Vale, vale, au galop !!! >>
Et le cheval démarra à toute vitesse vers le désert, semant en quelques secondes seulement ses 11 adversaires.
Depuis lors, personne n'a plus jamais retrouvé les deux compagnons. Chaque année, les parents de Carlos reçoivent une enveloppe avec quelques mots de leur fils et un billet de 500$.
L'histoire ne dit pas ce qui a poussé le jeune espagnol à venir en aide à Carlos. Elle montre seulement qu'avec un peu d'espoir, de courage et de chance, chaque être-humain peut réaliser son rêve.
Il continua donc sa route vers la Vallée de San Fernando dès son réveil. Mais il faisait chaud, très chaud. Et l'homme n'avait plus d'eau dans sa gourde. Il dû ralentir le pas, épuisé par tout ce chemin, alors que les coups de soleil se multipliaient sur ses épaules et sa poitrine. Puis après une quinzaine de kilomètres, l'homme eut enfin un brin de chance. Ce qu'il apercevait devant lui, c'était un oasis. Il allait enfin pouvoir se ravitailler.
Lorsqu'il eut goûté puis rempli sa gourde de cette précieuse eau du désert, le moment de repartir fut venu. Il ne devait plus perdre une minute après cette longue pause qu'il s'était accordé.
Alors il reprit son chemin, toujours en marchant vers l'ouest...
La fatigue se faisait ressentir, l'homme avançait de moins de moins vite. Il traînait ses pieds rouge, la tête baissée, sur ce long chemin de sable caillouteux. Soudain il vit au loin un coyote s'approchant à toute vitesse de lui et il commença à s'inquiéter. la bête lui pris sa gourde d'eau récemment remplie à l'oasis, avant de s'enfuir à toute vitesse. L'homme resta figé. Il était déjà terriblement assoifé par ce long voyage, et maintenant, il se faisait voler. Agacé, il continua tout de même son périple.
Quelques kilomètres plus loin, il vit au loin un jeune homme assis sur le sol. Perturbé il s'approcha lui et lui demanda:
- Où vas-tu jeune homme ?
Le jeune homme répondit de manière agressive, avec un accent espagnol très prononcé:
- Étrangé, etrangé, porque tu me parle ?
L'homme, étonné:
- Calmos, calmos, je vois un jeune homme assis par terre au milieu de nul part, donc je me demande ce qu'il peut bien faire là. Rien de méchant.
- Vale, vale, je cherche la ville. Qui es-tu ?
- Je m'appelle Carlos, Carlos Escriba, et toi ?
- Vale, vale, mi je m'appelle Pablo.
- Ok, souhaites tu poursuivre ta route à mes côtés ?
Le jeune homme acquiesça et se leva.
Carlos et Pablo continuèrent leur chemin. Les deux hommes marchèrent 25 kilomètres ensemble jusqu'à ce que Pablo s'arrêta, déja épuisé. Carlos comprit que le jeune homme ne pouvait plus continuer à marcher. Il décida donc de le porter sur son dos malgré la fatigue. Cinq kilomètres plus loin, ils arrivèrent, enfin, à San Fernando di publicano.
San fernanfo di publicano est une petite ville un peu à l'ouest de la ville légendaire de San Fernando. Comme la nuit allait tomber ils décidèrent de loger sur place pour se reposer et refaire le plein de provisions et d'eau. Ils prirent la dernière chambre du seul petit saloon.
Dès l'aube, Carlos fut réveillé par des bruit de sabots. Il découvrit avec stupeur que c'était Pablo qui quittait précipitamment les lieux à dos de cheval. Carlos remarqua la disparition de son colt et des quelques dollars qu'il avait conservé.
Carlos n'avait donc plus d'argent. Courir après le jeune homme ? À quoi bon, pensait-il. Bientôt, il arriverait à San Fernando et la fortune lui viendrait sans trop d'effort, ainsi que l'amour.
L'homme reprit donc son chemin. Seul, il marcha toute la journée sur cette route dangereuse: nombreux sont les bandits qui circulaient par là chaque jour. Et ce fut d'ailleurs à son plus grand étonnement qu'il vit apparaître en face de lui le troupeau d'indiens qu'il avait aperçu la veille.
Ses mains se mirent à trembler. Il n'avait plus d'arme, et donc plus rien pour se défendre, si ce n'est la force de ses propres mains. Sur le chemin, le vent soufflait très fort et les rouleaux de paille volaient. Dans moins d'une minute, il allait rencontrer ces hommes aux blousons blancs et aux culottes brunes. Il avait peur, et ça se voyait. Il songea à faire demi-tour, mais l'odeur de l'argent et de la fortune l'attiraient.
Alors l'inévitable arriva. Les 11 hommes étaient maintenant à dix mètres de lui. Carlos, prit par la peur, commença à courir. Et les coups de feux éclatèrent. Notre héros fut touché à la jambe, mais courait, courait...poussé par la soif de bonheur et l'instinct de survie. Le sang coulait tandis que la douleur se faisait ressentir, mais les jambes ne lâchaient pas. Elles étaient une preuve de courage, d'espoir. Et là, une autre balle l'atteignit en pleine épaule. L'homme poussa un cris et s'étala. Sa vie défila devant lui. Il repensa à tous ces moments passés avec sa famille et ses amis. Toutes ces aventures vécues pour en arriver là... C'était frustrant. Et la douleur le rongeait de plus en plus. Rien ni personne ne put lui venir en aide... sauf une chose: l'espoir de voir son rêve se réaliser. Alors il posa sa main sur le sol, lança une impulsion dans ses deux jambes et se releva. Les indiens tiraient encore et encore, mais Carlos évitait les balles. Soudain, à sa droite, il aperçut Pablo et son cheval noir.
Le jeune espagnol chuchota: << Viens, viens ! >>
Après un moment d'hésitation, Carlos accourût vers Pablo. Celui-ci lui tendit la main, le monta sur le cheval, et cria << Vale, vale, au galop !!! >>
Et le cheval démarra à toute vitesse vers le désert, semant en quelques secondes seulement ses 11 adversaires.
Depuis lors, personne n'a plus jamais retrouvé les deux compagnons. Chaque année, les parents de Carlos reçoivent une enveloppe avec quelques mots de leur fils et un billet de 500$.
L'histoire ne dit pas ce qui a poussé le jeune espagnol à venir en aide à Carlos. Elle montre seulement qu'avec un peu d'espoir, de courage et de chance, chaque être-humain peut réaliser son rêve.
¤¤¤ THE ENÐ ¤¤¤